Exp’Hôtel à Bordeaux : Le Trophée Michel Guérard, une distinction promise à une grande renommée

À Bordeaux, un nouveau rendez-vous met en lumière la gastronomie du Sud-Ouest comme on l’aime: ancrée, inventive, respectueuse du terroir. Le Trophée Michel Guérard, lancé pendant le salon Exp’Hôtel, s’impose déjà comme un marqueur d’exigence et de transmission.

Ce concours, parrainé par la Maison Lafitte, honore la mémoire du fondateur des Prés d’Eugénie*** et ouvre une scène nationale aux talents qui cuisinent juste, avec cœur et technique. Tu cherches à comprendre pourquoi ce prix va compter? Tu es au bon endroit.

Au cœur d’Exp’Hôtel, le Trophée Michel Guérard s’inscrit dans une dynamique d’ampleur: sept concours ont rythmé la deuxième journée du salon, mais celui-ci s’est imposé comme le temps fort. Sous la présidence de Hugo Souchet, chef aux Prés d’Eugénie, le jury a assumé une ligne claire: récompenser la créativité qui respecte la nature des produits, tout en faisant vivre l’esprit du maître landais. L’impulsion conjointe de l’UMIH et de la Maison Lafitte a rendu possible ce rendez-vous, longtemps différé, et désormais attendu chaque édition. Pour toi, ça change quoi? Un repère crédible pour suivre les étoiles montantes, des idées de recettes qui font sens, et une belle occasion de (re)découvrir des adresses du Sud-Ouest à inscrire sur ta carte. Concrètement, ce concours accélère des trajectoires, valorise des filières responsables et donne une voix au bon goût simple et précis. Exactement ce qui fait vibrer la table d’ici.

Exp’Hôtel Bordeaux: pourquoi le Trophée Michel Guérard va peser dans le paysage culinaire

Ce nouveau prix n’est pas une énième distinction. Il rend hommage à un chef qui a marqué l’histoire de la cuisine française et internationale, inventeur d’une cuisine légère, subtile et profondément centrée sur la nature. À Exp’Hôtel, la première édition a rassemblé six candidats autour de deux thèmes emblématiques des Prés d’Eugénie: un foie gras cuit en bouillon (plutôt qu’en terrine) et un poisson durable avec cuisson aux algues. Ce cahier des charges, simple en apparence, exige un sens aigu des textures, du goût et des cuissons. C’est précisément là que s’évalue la maîtrise d’un chef.

Lors de cette édition, Théo Laussucq, demi-chef de partie au Gabriel (Bordeaux), s’est distingué avec un foie gras au vin de noix et une vive étuvée aux algues. Choisir la vive, poisson souvent jugé « peu noble », c’était prendre un risque intelligent. Le jury a salué l’équilibre entre iodé et acide, la précision des cuissons, et un dressage net, sans tape-à-l’œil. Ce type de décision culinaire dit beaucoup: ce trophée valorise la clairvoyance, pas le clinquant.

Héritage vivant, crédibilité immédiate

La force de ce concours tient à son ancrage: l’esprit Guérard comme fil conducteur, la Maison Lafitte en partenaire foie gras, et une présidence assurée par Hugo Souchet. Le message est clair: transmission, exigence, respect des producteurs. Les professionnels y voient un cadre exigeant; les gourmets, un gage de sincérité. Et la région? Elle y gagne un phare supplémentaire, aux côtés de ses tables, marchés, et maisons historiques.

En filigrane, l’UMIH et les équipes d’Exp’Hôtel ont rappelé l’objectif: faire émerger des signatures, encourager l’innovation responsable, et offrir une scène qui parle à la fois aux artisans, aux restaurateurs et au public curieux. Ce n’est pas un feu de paille. Le jury l’a dit: « Ce prix va devenir prestigieux ». Il coche toutes les cases pour y parvenir.

• 🌟 Crédibilité: parrainage solide, jury expert, thématique exigeante.
• 🌿 Sens: ingrédients emblématiques du Sud-Ouest, pêche durable, less is more.
• 📣 Visibilité: salon national, relais médias, réseaux de chefs et d’artisans.
• 🎯 Effet carrière: tremplin concret pour les lauréats, opportunités immédiates.

Au-delà du palmarès, ce trophée consolide l’identité gastronomique du Sud-Ouest: terroirs fiers, gestes précis, sens du goût juste. C’est cette combinaison qui lui donne un vrai destin.

Chefs: comment briller au Trophée Michel Guérard (méthode concrète et sans chichi)

Si tu vises la scène d’Exp’Hôtel, va à l’essentiel: compréhension des produits, précision des cuissons, assaisonnement millimétré. Le foie gras en bouillon demande de la douceur et de la constance; le poisson avec algues réclame un dialogue entre l’iode, l’acidité et la matière. Garde cette phrase en tête: technique oui, mais au service du goût.

Ta feuille de route gagnante

Commence par sourcer: un foie gras tracé, travaillé frais, et un poisson de pêche responsable, idéalement issu d’une criée locale (Capbreton, Saint-Jean-de-Luz, La Cotinière). Teste les temps de cuisson dans différents liquides (bouillon clair, thé léger, infusion aromatique) pour le foie gras: la texture doit rester soyeuse, la saveur nette. Côté poisson, choisis une algue adaptée (kombu pour la structure, dulse pour une note noisette, laitue de mer pour la fraîcheur). Évite le parfum trop iodé qui écrase tout.

• 🧪 Tester: essais en petites portions pour caler température et temps.
• 🌡️ Précision: sonde, bain à température maîtrisée, repos contrôlé.
• 🍋 Équilibre: acide (vinaigre de cidre, agrume) vs iodé (algue) vs gras (émulsion légère).
• 🧂 Assaisonner: sel mesuré, poivre discret, pickles pour la vibration.
• 🧭 Clarté: une idée, un fil rouge, un dressage lisible.

Étude de cas: s’inspirer sans copier

Le parcours de Théo Laussucq est instructif: foie gras au vin de noix (douceur tannique, parfum de noix) et vive étuvée aux algues (chair délicate, note marine), avec un calibrage précis de l’acidité pour alléger la sensation de gras. Résultat: un plat lisible, élégant, fidèle à l’esprit Guérard. À toi d’identifier un produit « modeste » et d’en tirer de la noblesse par la justesse.

Prépare-toi comme pour un service de fête: répétitions chronométrées, plan de feu, plan B si un filet casse. Garde un carnet: températures, grammages, temps d’infusion. Le jury lit dans ces détails la qualité d’un chef.

Assure enfin le « dernier kilomètre »: dressage rapide, essuyage des bords, assiettes tièdes si besoin, brunoise ou pickles pour l’élan. La différence se joue souvent là.

Produits du Sud-Ouest: du foie gras en bouillon au poisson durable aux algues

Ce trophée met au centre ce que le Sud-Ouest sait faire de mieux: des produits magnifiques, une saisonnalité respectée et des artisans exigeants. Le foie gras, parrainé par la Maison Lafitte, impose un niveau de traçabilité et de régularité qui sécurise les cuissons en bouillon. L’astuce? Un bouillon clair, peu salé, avec aromates discrets (céleri branche, poivre de Penja, anis vert) pour soutenir la matière sans la dominer. Servi tiède, le foie gras gagne en délicatesse et en longueur.

Côté poisson durable, les algues ne sont pas un gadget. Elles servent de « milieu de cuisson » et de condiment naturel. Sur une vive, un grondin ou un merlan, une feuille de kombu peut structurer la cuisson à basse température, tandis qu’une dulse apporte une nuance de noisette, et une laitue de mer une fraîcheur végétale. Pense à l’accompagnement: un jus clair, une huile herbacée, un agrume, et basta. L’élégance, c’est la retenue.

Où et comment sourcer intelligemment

Pour des résultats réguliers, rapproche-toi de la filière locale. Les criées de Capbreton ou de Saint-Jean-de-Luz offrent des arrivages parfaits pour ce type de cuisson. Les marchés de producteurs de Bordeaux et des Landes fournissent aromates, verjus, vins de noix et agrumes. Un échange simple avec un mareyeur te permettra d’anticiper tailles, espèces, et maturité.

• 🐟 Poisson: privilégie la pêche côtière, tailles adaptées, fraîcheur irréprochable.
• 🌿 Algues: séchées de qualité, rinçage soigné, réhydratation contrôlée.
• 🦆 Foie gras: ferme fiable, calibrage constant, abats bien parés.
• 🍋 Acides: verjus landais, vinaigre de cidre, agrumes de saison.

Une piste inspirante: marier un poisson de roche « modeste » avec un condiment local (noix, verjus, piment doux d’Anglet), et une herbe du potager (cerfeuil, oseille). Tu obtiens un plat juste, fidèle aux saisons et pleinement dans l’esprit du trophée.

Au final, l’alliance terroir + technique + sobriété rend ces assiettes irrésistibles. Et c’est exactement ce que ce concours souhaite célébrer.

Préparer ta visite d’Exp’Hôtel Bordeaux: parcours malin, concours à suivre, bonnes adresses

Que tu sois foodie, chef en veille ou artisan, Exp’Hôtel est une mine d’idées. Pour profiter sans t’épuiser, bâtis un itinéraire simple: concours le matin (dégustations, démonstrations), rencontres exposants l’après-midi, puis un dîner dans une table locale qui valorise les produits du Sud-Ouest. Le Trophée Michel Guérard est le clou du spectacle, mais le salon aligne aussi plus d’une dizaine d’autres compétitions: pâtisserie, café, bar, service. Autant d’occasions d’observer les gestes qui font la différence.

Itinéraire express qui marche

Arrive tôt, cible ce que tu veux absolument voir, accorde-toi des pauses pour goûter proprement. Emporte une gourde, un carnet, et tes cartes de visite: le salon est un accélérateur de rencontres. Pour la logistique, vise le Parc des Expositions (facile en tram), et réserve ton dîner: les bonnes tables affichent vite complet pendant l’événement.

• 🗺️ Parcours: 1 concours phare + 2 stands techniques + 1 table du soir.
• 📒 Notes: 3 idées à appliquer dès la semaine suivante.
• 🤝 Réseau: 5 contacts utiles (producteurs, artisans, chefs).
• 🍷 Pause: 1 verre local bien choisi (avec modération).

Un dernier conseil: inscris-toi aux newsletters des maisons présentes (producteurs, coopératives, formations). Tu gardes le lien, tu reçois des infos fraîches, et tu sécurises de futurs approvisionnements. Simple et efficace.

Après le trophée: retombées, réseau et leviers concrets pour les talents et les terroirs

Un concours bien mené peut changer une trajectoire. Le lauréat Théo Laussucq le dit: être jugé par un « très bon jury » donne confiance et visibilité. Pour capitaliser, mieux vaut un plan clair dès le lendemain: communication humble, mise à jour des supports (CV, bio, cartes), rencontres planifiées avec producteurs et restaurateurs. Le but? Transformer l’essai sans se disperser.

Plan 30-60-90 jours

Trente jours: consolide ton plat signature, documente la recette, standardise le protocole pour ton équipe. Soixante jours: organise un dîner à quatre mains avec un producteur ou un chef voisin, raconte l’histoire du produit. Quatre-vingt-dix jours: propose un atelier ou une démonstration (marché, école, salon), pour transmettre et élargir ton réseau.

• 📸 Communication: 6 photos propres, 1 vidéo courte, un texte sincère.
• 📍 Terroir: nomme tes producteurs, valorise les saisons.
• 🤝 Réseau: 2 collaborations, 1 mentor, 1 jeune à accompagner.
• 🧪 R&D: 1 nouvelle cuisson, 1 nouveau condiment, 1 test à l’aveugle.

Pour les territoires, l’enjeu est clair: raconter les filières, ouvrir les portes des ateliers, proposer des visites en saison. C’est ainsi qu’un concours devient un moteur économique et culturel. Si tu tiens une adresse dans les Landes ou à Bordeaux, c’est le bon moment pour construire un menu « terroir vivant » autour des gestes vus au trophée.

Le regard qui change tout: transmission, simplicité et plaisir utile

Au fond, ce trophée rappelle une idée simple: la haute cuisine n’est pas la surenchère, c’est la justesse. La transmission est le vrai luxe: gestes partagés, recettes clarifiées, producteurs valorisés. Dans cet esprit, le Sud-Ouest a une avance précieuse: il sait unir tables, marchés et savoir-faire, du littoral aux collines. Cette énergie se sent à Exp’Hôtel, entre concours, démonstrations et rencontres spontanées dans les allées.

Un fil conducteur pour progresser au quotidien

Imagine Camille, jeune cheffe passée par Dax, qui découvre au salon une cuisson douce du merlan à la dulse et un bouillon de foie gras au thé fumé. Elle teste, ajuste, simplifie. Deux mois plus tard, un plat lisible, précis, lié à ses producteurs, s’installe à la carte. Ce n’est pas « spectaculaire », c’est bon, net, durable. C’est exactement l’esprit que ce prix porte haut.

• 🪶 Simplicité: moins d’effets, plus de goût.
• 🧭 Cap: produit local, saison, geste sûr.
• 🎓 Transmission: une astuce apprise = une astuce transmise.
• 🔁 Rituel: tester, goûter, améliorer, partager.

Si tu ne dois retenir qu’une chose: privilégie l’essentiel. C’est là que se cache la vraie modernité… et le vrai plaisir à table.

Action simple: note une adresse de marché ou de producteur à visiter cette semaine, choisis un poisson de roche « modeste », et teste une cuisson douce avec algues. Tu verras: sobriété + terroir = clarté dans l’assiette.

C’est quoi le Trophée Michel Guérard à Exp’Hôtel ?

Un concours culinaire d’excellence lancé à Bordeaux pour célébrer la créativité, la transmission et l’héritage du chef triplement étoilé Michel Guérard. Il met au défi des chefs autour de thèmes exigeants, avec un jury d’exception et un parrainage de la Maison Lafitte.

Quels ont été les thèmes et le lauréat de la première édition ?

Deux thèmes emblématiques: foie gras cuit en bouillon et poisson durable cuit aux algues. Le lauréat est Théo Laussucq (Le Gabriel, Bordeaux) avec un foie gras au vin de noix et une vive étuvée aux algues.

Pourquoi ce trophée va-t-il gagner en prestige ?

Crédibilité des partenaires, héritage fort, exigence technique, visibilité nationale au sein d’Exp’Hôtel, et retombées concrètes pour les lauréats. Le jury affirme déjà que le prix est appelé à devenir prestigieux.

Comment se préparer si tu veux concourir ?

Sourcer des produits irréprochables, calibrer des cuissons douces, travailler l’équilibre iodé/acide, documenter tes recettes et t’entraîner en conditions réelles. Clarté du plat et sobriété des effets font la différence.

Où découvrir des produits alignés avec l’esprit du concours ?

Marchés de producteurs en Gironde et dans les Landes, criées de Capbreton ou Saint-Jean-de-Luz, artisans foie gras comme la Maison Lafitte, et restaurateurs qui valorisent le terroir local avec simplicité.